Manicamp, 1936, avant la seconde tempête mondiale en 25 ans.
Une photo de famille d’une partie de ma branche « LEROUX – Manicamp », conjoints et enfants.
En hommage à Mireille, l’une de mes deux « jeunes » petites cousines préférées (aujourd’hui 83 ans),
qui vient de subir en 2004 un double pontage coronarien avec succès, deuxième rang, seconde à partir de la droite.
Premier rang, de gauche à droite, Jean GODFROID mon père tient dans ses bras son petit-cousin Claude HOLZER,
suivent Jean et André HOLZER puis René HOLZER leur père.
Au second rang, de gauche à droite, la seconde épouse d’Albert LEROUX, puis Jeanne LAMAND, la demi-sœur de mon père,
Mireille et sa mère « Margot » LEROUX-HOLZER, fille d’Albert.
Au dernier rang, Albert LEROUX, mon grand-oncle, sa sœur (ma grand-mère paternelle) Alice LEROUX (Veuve de Jean Henri GODFROID, voir « Photonoces »),
et au milieu son second mari Lucien LAMAND.
Les destinées ont été contrastées.
Mon père Jean mourra en 40 (comme son père Jean Henri en 1916).
René HOLZER (frère de Maurice HOLZER, champion du monde de boxe poids coq de l’époque) fera partie du réseau de résistance FFI de la RATP,
décimé par la Gestapo, en réchappera et finira capitaine dans l’armée française, après une brillante campagne en Allemagne.
Les deux absents, ma mère et moi-même (pas encore né !), faillirent, à 150 mètres près, périr sous une bombe américaine aux Lilas (93) en 1942 !